Quelques mots sur mon approche

• En questionnement permanent depuis mon enfance sur le fonctionnement du corps humain dans son ensemble, mes premières interrogations sur l’alimentation ont débuté à la fin de mon adolescence, après avoir lu « Je mange donc je maigris » de Claude Montignac.
• J’ai alors expérimenté l’exclusion totale du sucre pendant plusieurs années (sucre blanc, toutes les pâtisseries et autres gourmandises). Sans être en surpoids, cette éviction m’avait permis de m’amincir.
• Puis je suis revenue au sucre, ce dernier étant très addictif dès qu’on le consomme à nouveau. Il s’en est suivi une période où je mangeais très peu de viande pour des raisons financières.
• Aux alentours de mes 30 ans, je suis passée à une alimentation biologique avec à nouveau une période pauvre en sucres ajoutés pour optimiser mes performances sportives.
• En 2012, j’ai arrêté de consommer les animaux, cette décision étant liée en premier lieu à un puissant ressenti qui me faisait comprendre que cette nourriture ne m’était plus adaptée, et en deuxième lieu, liée à un profond respect pour le règne animal dont nous faisons partie.
• En 2019, un burnout m’a ouvert la porte au monde du crudivorisme, monde qui ne m’était pas totalement inconnu puisque je m’y intéressais déjà. Étant clouée à la maison, j’ai eu le temps d’explorer les univers des différents protagonistes vantant les bienfaits d’une telle alimentation.
• Cette façon de s’alimenter me semblait être la clef d’une bonne santé, cependant, un certain nombre d’informations me manquait : il persistait nombre d’interrogations sur la manière de s’y prendre et des doutes persistaient.
• Et surtout, les symptômes auxquels je faisais face ne s’amélioraient pas et m’handicapaient quotidiennement, au point de ne pas pouvoir mener une journée normale, encore moins de travailler.
• Je me questionnais donc sur les raisons de mon burnout : que se passait-il dans mon corps pour en être arrivée là, et comment y remédier ?